

Biographie politique de Brigitte Fouré
Brigitte Fouré, née le 13 août 1955 à Amiens, est une femme politique française. Fille d'ancien agriculteur, elle étudie le droit à Amiens, puis à Paris. Elle est maître de conférences en droit privé à l'Université de Picardie Jules Verne à Amiens.
Militante au sein du syndicat universitaire UNI (Union Nationale Inter-universitaire), puis du CNIP (Centre National des Indépendants et Paysans), elle figure sur la liste UDF - RPR - CNIP (Union pour la Démocratie Française - Rassemblement Pour la République - CNIP) conduite par Jean-Claude Broutin aux élections municipales de mars 1983 (aux côtés d'un certain Jean-Pierre Pernaut, qui deviendra peu après le journaliste emblématique du 13 heures de TF1!). Arrivée en tête au premier tour, cette liste (fusionnée avec une autre) s'incline toutefois au second face à celle d'union de la gauche du maire sortant communiste, René Lamps, qui entame alors un troisième mandat.
C'est en 1985 que Brigitte Fouré devient une personnalité politique de premier plan, à la faveur d'une élection cantonale, celle du nouveau canton réputé de gauche, Amiens Nord-Ouest, où elle totalise plus de 48% des suffrages au second tour face au candidat victorieux du PCF (Parti Communiste Français), Gérald Maisse.
Elle est ensuite élue Conseillère régionale de Picardie en 1986, mandat qu'elle exerce jusqu’en 1992, puis sans discontinuer de 1993 à 2007. Elle s'opposera notamment très fortement à l'entente implicite entre Charles Baur et les élus du FN (Front National), en mars 1998, afin d'être réélu Président du Conseil régional de Picardie.
En 1988, elle retrouve son adversaire Gérald Maisse à l'élection cantonale d'Amiens Nord-Ouest mais s'incline et fait un peu moins bien qu'en 1985. Tout comme en 2001 dans le canton d'Amiens-Nord contre le socialiste Francis Lec. Elle sera également candidate malheureuse par deux fois aux élections législatives dans la première circonscription de la Somme face à Maxime Gremetz (PCF) en 1993 (dans un contexte de désunion du centre et de la droite) et en 1997.
En 1989, elle fait partie de la formidable aventure qui mène Gilles de Robien dans le fauteuil de Maire d'Amiens (sa liste UDF - RPR - CNIP ayant battu la liste d'union de la gauche du maire sortant communiste, René Lamps). Dans l'équipe du nouveau maire, elle sera tour à tour Adjointe à l'enseignement et à la jeunesse, puis du secteur Rive droite (quartiers Amiens-Nord, Vallée Saint-Ladre et Saint-Pierre).
En 1994, elle adhère au PR (Parti Républicain), alors composante de l'UDF. En 1998, l'UDF devient un parti unitaire et elle décide d'y rester.
Elle devient Maire d'Amiens pour la première fois en 2002, en remplacement de Gilles de Robien, qui est nommé Ministre de l'Equipement, des Transports, du Logement, du Tourisme et de la Mer dans le premier gouvernement de Jean-Pierre Raffarin. Elle est en effet élue le 27 juin 2002 par le conseil municipal, Gilles de Robien restant Président de la Communauté d'Agglomération Amiens Métropole et 2ème adjoint au maire.
En mars 2004, elle est réélue Conseillère régionale de Picardie sur la liste d'union de la Majorité conduite par Gilles de Robien et siège alors au sein du groupe d'opposition UMP (Union pour un Mouvement Populaire) - UDF "Aimer la Picardie" dont elle est élue Vice-Présidente, aux côtés de la Présidente Caroline Cayeux, par ailleurs Maire de Beauvais (Oise). Trois mois plus tard, elle est candidate aux élections européennes et figure même en deuxième position sur la liste interrégionale Nord-Ouest emmenée par Jean-Louis Bourlanges (qui sera réélu Député européen).
Le 23 mars 2007, elle démissionne de sa fonction de Maire pour transmettre son mandat à Gilles de Robien.
Le 1er janvier 2007, elle est nommée Chevalier dans l'ordre de la Légion d'Honneur par le Président de la République Jacques Chirac. Cette distinction lui est remise officiellement dans les salons de l'Hôtel de Ville d'Amiens le 24 mars 2007, au nom du Président de la République, par Gilles de Robien, alors Ministre de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche.
Après sa démission, Brigitte Fouré devient 2ème adjointe au Maire déléguée à la Démocratie locale, la Vie associative, la Prévention et la Sécurité. Elle reste également Conseillère de la Communauté d'Agglomération Amiens Métropole, jusqu’en 2008.
Le 10 janvier 2008, au moment où Jean-Louis Bourlanges décide de quitter le Parlement européen, elle accède au mandat de Députée européenne.
Au sein du Parlement européen, elle choisira d'intégrer le groupe parlementaire du Parti Populaire Européen et des Démocrates Européens (PPE-DE) où elle est la seule eurodéputée de la formation politique française dénommée Le Nouveau Centre.
Brigitte Fouré siège alors à l'Assemblée européenne au sein des commissions "Transports et Tourisme" et "Marché Intérieur et Protection des Consommateurs", des commissions où se pratiquaient déjà la co-décision en matière de droit européen, c'est à dire que le Parlement européen est placé au même niveau en matière de décision que le Conseil de l'Union européenne (depuis, le Traité de Lisbonne a généralisé cette pratique).
Elle était également membre de la délégation inter-parlementaire Union Européenne-Etats du Golfe, dont le Yémen.
Atteinte par le cumul des mandats, elle démissionne du Conseil Régional de Picardie pour rester Adjointe au Maire d'Amiens car, disait-elle, "je considère qu'un mandat local dans une ville située au cœur de l'Europe, me permettra de mieux élaborer avec mes collègues du Parlement les lois qui harmonisent la vie de près de 500 millions d'Européens".
Le 16 mars 2008, à l'issue du second tour des élections municipales, la majorité sortante perd le scrutin. Quelques jours plus tard, le 21 mars, le socialiste Gilles Demailly est élu Maire d'Amiens.
Brigitte Fouré siège alors à l'Hôtel de Ville d'Amiens en tant que Conseillère municipale d'opposition, membre de la commission des Finances ainsi que de la commission "Démocratie, Solidarité, Ecologie".
En 2009, dans le cadre d'un accord national avec ses partenaires de la Majorité Présidentielle pour les élections européennes, le Président Hervé Morin obtient 3 places de candidats supposées éligibles pour Le Nouveau Centre. Toutefois, cet accord est défavorable à Brigitte Fouré, qui décide de ne pas se représenter au Parlement européen mais, chose rare, poursuit sa campagne électorale afin de faire "la promotion de l'Union européenne". Elle quitte ainsi le Parlement européen le 13 juillet 2009 et transmet le flambeau à Sophie Briard Auconie, Damien Abad et Jean-Marie Cavada, tous trois députés européens du Nouveau Centre.
Le 30 août 2009, lors des Universités d'été du Nouveau Centre à Agen, elle est élue Vice-Présidente nationale du club Femmes au Centre.
Puis, le 27 novembre 2009, Brigitte Fouré est élue Membre du Conseil National et du Comité Directeur du Mouvement Européen - France, lors d'une réunion à Paris. Du 1er juillet 2012 au 1er octobre 2016, elle assure la présidence de la section Somme du Mouvement Européen-France.
Soucieux de faire de sa formation politique "l'UDF d'aujourd'hui", Hervé Morin, Président du Nouveau Centre et Ministre de la Défense, confie en janvier 2010 à l'ancienne députée européenne le soin, avec la secrétaire générale-adjointe Mireille Benedetti, de mener la réflexion autour du futur nom du parti. Brigitte Fouré se rend ainsi dans de nombreuses fédérations afin de recueillir l'avis des militantes et militants.
La Conseillère municipale d'Amiens a également pour tâche de coordonner les groupes d'oppositions dans les conseils municipaux des grandes agglomérations de France, afin de préparer Le Nouveau Centre à s'imposer dans plusieurs villes de plus de 100 000 habitants lors des élections municipales de 2014. Au sein du Nouveau Centre, Brigitte Fouré devient en quelque sorte "Madame UDF" et "Madame Oppositions" !
En mars 2010, à l'occasion des élections régionales en Picardie, elle figure en huitième position (sur 19) sur la section Somme de la liste d'union de la majorité présidentielle, intitulée "Envie de Picardie", conduite par Caroline Cayeux. Cependant, le Président sortant Claude Gewerc (PS - Gauche rassemblée) est réélu au second tour dans une triangulaire comprenant la liste de Caroline Cayeux et celle du frontiste Michel Guiniot. Seuls les quatre premiers candidats figurant sur la section Somme de la liste "Envie de Picardie" sont donc élus au Conseil Régional de Picardie.
Brigitte Fouré décide alors de se concentrer sur les élections cantonales du mois de mars 2011 en choisissant de s'implanter dans le canton Amiens V Sud-Est Cagny. Mais, le 2 avril 2010, soit quatre jours après le second tour des élections régionales, le conseiller général socialiste du canton en question, Daniel Leroy, décède brutalement.
Brigitte Fouré est donc amenée à faire campagne plus tôt que prévu dans une élection cantonale partielle. Elle est investie par Le Nouveau Centre avec pour suppléant Olivier Mira. Ils décident de parcourir le canton à la rencontre des habitants au moyen de la mythique 2 CV Citroën et font campagne sur le thème de la proximité.
Le 6 juin 2010, au soir du premier tour, ils se qualifient en tête avec 29,7% des voix, loin devant les candidats de l'UMP et du Parti Radical. Et le 13 juin, Brigitte Fouré est élue Conseillère Générale de la Somme avec 52,46% des voix face au socialiste Romain Joron (47,54%). Grâce à cette élection, l'opposition départementale ne distance plus que d'une seule voix la majorité de gauche au sein de l'assemblée départementale. Au soir de sa victoire, Jean-Claude Broutin, Conseiller Général du canton Amiens V Sud-Est Cagny de 1973 à 2004 et Président du comité de soutien à Brigitte Fouré et Olivier Mira durant la campagne, offre son insigne de Conseiller Général à Brigitte Fouré, qu'il épingle au revers de sa veste devant les caméras de France 3 Picardie.
Quelques mois plus tard, en mars 2011, le canton est déjà renouvelable. Brigitte Fouré et Olivier Mira redéploient les mêmes équipes ainsi qu'une campagne et un programme similaires en les renouvelant quelque peu. Le premier tour est une véritable réussite avec plus de 42% des suffrages exprimés. Le duo gagne haut la main la primaire du centre et de la droite face au radical Pascal Rifflart. Brigitte Fouré retrouve alors le socialiste Romain Joron au second tour. Elle gagne à nouveau son canton et est réélue Conseillère Générale de la Somme le 27 mars 2011 avec 20 voix d'avance sur son rival et 50,18% des voix, dans un canton réputé à gauche et dans un contexte de défaite au niveau national pour la majorité présidentielle de l'époque.
En septembre 2013, suite à un accord avec le Président départemental de l’UMP Alain Gest, qui se retire à son profit, Brigitte Fouré est investie par l’UDI (Union des Démocrates et Indépendants), l’UMP, le MoDem (Mouvement Démocrate), le Parti Radical et Debout la France! en tant que tête de la liste intitulée « Rassemblés Pour Agir » aux élections municipales d’Amiens. Le 30 mars 2014, sa liste est élue en totalisant 50,3% des voix au second tour au sein d’une triangulaire (face aux listes de gauche et du FN, menées respectivement par Thierry Bonté et Yves Dupille). Elle est élue Maire d’Amiens pour la deuxième fois le 4 avril 2014.
Quelques jours après, le 17 avril 2014, le 6ème adjoint au maire, Alain Gest, est élu Président de la Communauté d'Agglomération Amiens Métropole. Brigitte Fouré est élue quant à elle 2ème Vice-présidente d’Amiens Métropole déléguée aux Personnels.
Suite à ces deux élections, Brigitte Fouré accepte de figurer sur les listes de l’alliance UDI-MoDem aux élections européennes de juin 2014 (Nord-Pas-de-Calais – Picardie – Haute et Basse Normandie, score de 9,38%) et aux élections sénatoriales de septembre 2014 (Somme, score de 42,01%). Elle contribue ainsi aux réélections du député européen Dominique Riquet et du sénateur Daniel Dubois.
En 2015, elle s’oppose à la réforme territoriale du gouvernement de Manuel Valls en défendant la place et le statut d’Amiens dans la nouvelle grande région Picardie – Nord-Pas-de-Calais au moyen de la campagne d’action Amiens Capitale, c’est capital !, laquelle connaît un certain retentissement dans tout l’Hexagone.
A la demande de l’ancien ministre Xavier Bertrand, par ailleurs député-maire de Saint-Quentin (Aisne), tête de liste principale (Les Républicains – UDI – MoDem - CPNT (Chasse, Pêche, Nature et Traditions)) aux élections régionales de cette nouvelle entité administrative, elle accepte le 17 juillet 2015 de mener la liste du département de la Somme en vue du scrutin des 6 et 13 décembre de la même année.
Au terme d’une campagne difficile, marquée par le retrait de la liste de gauche (« Pour vous » : conduite par Pierre de Saintignon et arrivée 3ème avec 18,1% des voix), le second tour permet la victoire de la liste menée par Xavier Bertrand (« Avec Xavier Bertrand, une Région au travail » : 25 % au premier tour) sur celle de Marine Le Pen (« Une Région fière et enracinée » : 40,6% au 1er tour) grâce à la discipline imposée par le « front républicain » initié notamment par Martine Aubry, Maire de Lille. La liste de Xavier Bertrand obtient en effet 57,77 % des voix au second tour (face aux 42,23% de Marine Le Pen). A Amiens, l’effet « Brigitte Fouré » fait monter le score de la liste de Xavier Bertrand à plus de 72 % !
Le 1er janvier 2016, la nouvelle région Hauts-de-France (Picardie – Nord-Pas-de-Calais) prend effet avec Lille pour préfecture. Amiens, 2ème ville de cette entité, restant Préfecture de la Somme. Brigitte Fouré aime à dire depuis qu'Amiens est "la ville-cœur des Hauts-de-France".
Le 4 janvier 2016, Brigitte Fouré est élue 3ème Vice-présidente de la Région Hauts-de-France déléguée à la fusion, à l’administration générale, aux affaires juridiques, au personnel et au dialogue avec les syndicats, tout en restant Maire d’Amiens et Vice-présidente d’Amiens Métropole.
Suite au Congrès de l'UDI de mars 2016, qui devient un parti unitaire et voit se détacher "Le Nouveau Centre" d'Hervé Morin (devenu "Les Centristes"), Brigitte Fouré décide de rester à l'UDI, désormais présidée par Jean-Christophe Lagarde. Elle devient Vice-présidente nationale de cette formation politique.
Après les élections présidentielle, législatives et sénatoriales de 2017, certains membres de l'exécutif accédant au mandat de parlementaire ou à la fonction de ministre, un remaniement a lieu au Conseil régional et Brigitte Fouré est élue 1ère Vice-présidente de la Région Hauts-de-France.
En mai 2019, Brigitte Fouré figure sur la liste nationale de l'UDI "Les Européens" conduite par Jean-Christophe Lagarde aux élections européennes (du 26 mai). Celle-ci obtient 2,49% des suffrages et n'envoie pas de députés siéger au Parlement européen.
C'est en 2019 également qu'elle signe l'Appel des 72, qui paraît le 9 juin suivant dans Le Journal Du Dimanche. Il s'agit de 72 maires et élus locaux appelant à la réussite des réformes entreprises par le Président de la République, Emmanuel Macron. Cet appel évolue ensuite en une association, "La République des Maires" présidée par Christophe Béchu, Maire d'Angers, et dont Brigitte Fouré devient l'une des Vice-présidentes.
Sur le plan municipal, son mandat est marqué par une forte politique d'investissement et de modernisation avec un accent important donné à l'intensification de la démocratie locale et de la proximité : création de la piscine Aquapôle, d'un nouveau réseau de Bus à Haut Niveau de Service (Nemo), rénovation du Stade de la Licorne, nouveau spectacle de polychromies de la cathédrale (Chroma), labellisation d'Amiens en tant que "Capitale européennne de la Jeunesse 2020", rénovation de fond en comble du Musée de Picardie, requalification du centre commercial "Le Colvert" à Amiens Nord...
Forte de ce bilan, Brigitte Fouré annonce sa candidature aux élections municipales de 2020 dès le mois de septembre 2018 lors de la soirée d'anniversaire des 10 ans de l'association de ses amis, à Cagny, commune d'Amiens Métropole.
Après une période de négociations avec ses partenaires politiques, le rassemblement autour d'elle s'élargit avec l'arrivée du mouvement LREM ("La République En Marche!") en son sein, emmené par Hubert de Jenlis.
Le 28 juin 2020, la liste "Amiens ensemble" est élue avec 45,7% des voix au second tour d'une triangulaire (face à la liste de gauche de Julien Pradat, 36%, et à la liste indépendante du candidat dissident Renaud Deschamps, 18,3%). Fait peu banal : en raison de la crise pandémique du Covid 19 et au confinement sanitaire imposé par le Gouvernement, ce second tour a lieu...15 semaines après le premier tour ! Ainsi, Brigitte Fouré est élue Maire d'Amiens pour la troisième fois le 3 juillet 2020.
Ce nouveau mandat s'articule autour de trois axes : la transition écologique, l'attractivité économique et la participation citoyenne.
Peu de temps après, le 9 juillet 2020, le 3ème adjoint au maire, Alain Gest, est réélu Président de la Communauté d'agglomération Amiens Métropole. Brigitte Fouré est réélue quant à elle 2ème Vice-présidente d'Amiens Métropole déléguée aux Ressources humaines et à l'Administration générale.
Un an plus tard ont lieu les élections départementales et régionales. La crise sanitaire se pérennisant, celles-ci sont reportées de mars à juin.
Brigitte Fouré est à nouveau tête de liste pour le département de la Somme aux élections régionales. Le Président de région sortant et tête de liste régionale, Xavier Bertrand, est aussi candidat à la candidature pour la Présidence de la République (les électeurs du congrès de son parti, LR (Les Républicains, ex-UMP), lui préfèreront Valérie Pécresse en novembre suivant) et est particulièrement suivi par les médias nationaux. La campagne électorale ne fait que renforcer son leadership régional.
A la tête d'une équipe renouvelée, Xavier Bertrand et sa liste "Se battre pour vous" sortent victorieux du scrutin au second tour avec 52,37% des suffrages face à celle du RN (Rassemblement National, ex-FN) menée par Sébastien Chenu (25,64%). La gauche faisant son retour dans l'hémicycle grâce à la liste d'union de l'écologiste Karima Delli (21,98%).
Le 2 juillet 2021, Brigitte Fouré est réélue 1ère Vice-présidente de la Région Hauts-de-France, en charge de l'administration générale, des affaires juridiques, de la simplification administrative, du personnel et du dialogue avec les syndicats. Elle est membre de la Commission 1 : Ressources, fusion, administration générale, finances, personnel, affaires juridiques.
Attachée à la Démocratie, Brigitte Fouré se distingue au fil des différentes élections présidentielles en accordant son parrainage à des candidats qui, finalement, n'obtinrent pas suffisamment de signatures pour pouvoir se présenter : Jean-Christophe Parisot de Bayard en 2007, Hervé Morin en 2012 et Rama Yade en 2017. Elle n'accorde toutefois pas son parrainage en 2022.
Brigitte Fouré a publié trois ouvrages : Une femme au cœur de la Cité (Martelle éditions, 2008), Amiens pour Vous (Autres Talents, 2012) et Amiens Capitale, c’est capital ! (Autres Talents, 2015). Elle a également contribué au manuel Leçons de Droit de la Famille, sous la direction de Mikaël Bennilouche (ellipses, 2012).
Il existe une association, Les Amis de Brigitte Fouré, dont vous trouverez le lien et les coordonnées sur ce site. Cette association est présidée par Christine Petit, avec pour Président d'honneur Monsieur Bruno Le Maire, Ministre de l'Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique.
Réunis en assemblée générale extraordinaire le 30 mai 2011, les adhérents décidèrent de renommer leur association Les Amis de Brigitte Fouré - Nouvelle Energie pour Amiens.
En outre, à ses heures perdues, Brigitte Fouré se passionne pour la lecture, l'œuvre du peintre Anton Kandinsky, l'ULM et le saut en parachute. Elle apprécie particulièrement les programmes de La Chaîne Info (LCI) et aime écouter la radio France Bleu Picardie.